L’hypnose est un jeu d'enfant !
Les enfants vivent dans un monde imaginaire ils réagissent spontanément à l'hypnose, contrairement à la personne adulte qui va se méfier, douter, vérifier.
Parfois la nervosité des parents, et surtout s'il s'agit du premier enfant, peut engendrer certaines problématiques chez cet enfant. Il est donc important de se calmer soi-même, de prendre soin de dormir suffisamment, et parfois de se faire aider, ce qui soulagera et tranquillisera les parents, et donc le bébé ou l'enfant en même temps. Les parents sont les mieux placés pour aider leurs enfants puisque l'un comme l'autre ont la meilleure connexion avec lui.
« Jouer petit ne sert pas le monde. Se rétrécir devant les autres pourqu’ils ne se sentent pas en insécurité ne fait pas preuve d’une attitude éclairée. Nous sommes tous voués à briller, comme le font les enfants. »
Marianne Williamson
Il n'y en a pas, on peut même l'utiliser avant et ou pendant la grossesse.
Enurésie, encoprésie, tics moteurs et ou verbaux.
Troubles du sommeil, cauchemars, endormissement, peurs.
Indiscipline, hyperactivité, sucer son pouce, se ronger les ongles, verrues, anxiété, phobies, traumatisme, deuils.
Difficultés d'apprentissage, réussite aux examens, adoption, autisme, confiance en soi.
Tabac, addiction, chagrin d'amour, harcèlement, anorexie, boulimie, choisir son métier, quitter la maison.
Oui tous les enfants peuvent utiliser l'hypnose.
Il est en cours de construction pendant l'enfance, de ce fait on permet à l'enfant de grandir et de vivre plus facilement dans la joie, le bonheur et la créativité.
ils lui permettent de se renforcer par rapport au monde extérieur, et font partie de son évolution normale, un peu comme une préparation pour l'avenir. Ces mauvais rêves façonnent l'enfant à la vraie vie, qui n'est pas toujours facile donc, si l'enfant fait un cauchemar de temps en temps il est inutile de s'inquiéter. Il faut juste vérifier que ces cauchemars ne perturbent pas trop son sommeil.
Il arrive parfois aux enfants d’avoir du mal à s’endormir ou ils se réveillent la nuit sans parvenir à retrouver le sommeil, un peu comme un adulte, c’est souvent dû à de l’anxiété.
Cette agitation peut venir d’une dispute à l’école ou en famille, d’une peur lié à la maladie, la mort ou la peur « des monstres ».
Elles peuvent être vécues comme des expériences impressionnantes pour les parents, en effet, l’enfant se réveille en hurlant, les yeux ouverts mais ne vois rien et personne ne peut le calmer. Certains enfants peuvent être violent malgré eux et n’aurons aucun souvenir à leur réveil car ces angoisses surviennent lors du sommeil profond. Les rêves eux se produisent lors du sommeil paradoxal ou léger. Elles surviennent souvent en début de nuit.
Sachez que des choses de petites importance (une dispute, le retard de l’un des parents…) pour les parents peuvent être vécues comme traumatisantes pour un enfant.
Le TDAH
Le TDAH ou « Trouble de Déficit de l’Attention avec ou sans Hyperactivité » regroupe 3 formes de troubles :
Pour parler de troubles, les signes présents chez l’enfant doivent persister depuis plus de six mois.
L’agitation est normale chez l’enfant, il découvre les nouvelles fonctions de son corps. Ne cherchez pas à uniformiser les enfants comme les adultes, car ils ont chacun leur caractère, c’est ainsi, c’est naturel. Être parent est le métier le plus dur, on fait toujours au mieux.
C’est un état émotionnel qui correspond à l'attente plus ou moins consciente d'un problème à venir ou d'un éventuel danger. Un enfant anxieux est dans l'anticipation permanente, le moindre événement quotidien peut devenir une affaire compliquée.
Tous les soucis quotidiens, importants ou non, peuvent être amplifiées de façon tout à fait involontaire par l'enfant anxieux en particulier les événements incontrôlables ou imprévisibles comme :
Ce sont des comportements compulsifs souvent associés à un besoin oral non satisfait. L’anxiété peut également engendrer ce type d’agissement, un peu comme un exutoire qui rassure l’enfant. L’enfant peut également imiter un ami ou un parent.
Un enfant peut également adopter par mimétisme la peur d'un parent proche.
Les traumatismes c'est quoi ?
Ces blessures sont des chocs émotionnels et ou physiques brusques qui ont un impact éprouvant sur les enfants qui limiteront et pèsera sur leur vie entière.
L’attitude des enfants face à un événement grave est multiple et varié en puissance, et cela, en fonction du caractère de l'enfant de la blessure la présence ou non d'un proche et de la faculté de résilience de la famille.
Plus le traumatisme a été vécu jeune plus il aura eu un impact préjudiciable sur l’individualité de l'enfant, l'événement va s’insérer dans son histoire de vie et donc dans sa personnalité.
Les deuils y compris les animaux domestiques, le divorce des parents, une maladie grave, le handicap d'un proche, l'abandon, la maltraitance (que ce soit l'enfant qui est maltraité ou qu'il assiste régulièrement à des scènes de maltraitance à la maison), les humiliations répétées (à la maison ou à l'école), la privation des besoins quotidiens, les viols, les agressions, dont le harcèlement, les visions d'horreur (à la télévision ou pire par l'un de ses proches), les accidents, les attentats, les catastrophes écologiques….
Entraîne une réaction de sidération, l'enfant est figé comme paralysé, il ne ressent plus les émotions, ne parle pas, n'agit plus de manière rationnelle, ce mécanisme de défense archaïque permet à l'enfant de prendre de la distance avec l'événement traumatisant, cela peut durer quelques minutes ou plusieurs heures.
L'enfant est en stress intense, il court partout de façon désordonnée, fait de grands gestes, tiens des propos incohérents il ne parvient pas à se calmer.
Se produit juste après les événements terrifiants ou traumatisants, c'est un état qui amène une dissociation un état d'alerte chronique du replis sur soi et de l’incapacité à échanger.
C'est un état modifié du stress élevé, qui survient en général un mois après l’événement douloureux.